Découvrons les façons appropriées de présenter ton niveau d’anglais et d’autres langues dans ton CV.
Ton niveau d’anglais sur ton CV fera toujours place à l’interprétation lors de sa lecture.
Autrement dit, un recruteur va déduire un certain niveau, alors qu’un autre comprendra autre chose.
Pour cette raison, tu seras presque toujours évalué en entrevue (bien souvent téléphonique ou vidéo).
L’employeur voudra avoir le cœur net quant à ton niveau réel. Il ne se fiera pas à ton auto-évaluation.
Mais d’ici là, voici comment lui communiquer ta maîtrise de l’anglais sur ton document d’embauche.
J’analyserai toutes les façons de l’écrire afin que tu saisisses bien ce qui découle de chacune d’elles.
Pour débuter, voyons où positionner les langues sur ton CV.
Are you ready!?
Emplacement #1 : dans l’en-tête
Le premier choix possible pour indiquer les langues est l’en-tête de ton CV :

Emplacement #2 : section dédiée
Le deuxième positionnement possible pour en faire mention est dans une section prévue à cet effet, généralement sur la première page du CV :

Personnellement, je n’ai pas de préférence particulière…
Tu peux choisir de la situer dans l’en-tête ou dans une section « Langues ».
L’avantage d’une section qui se consacre aux langues, c’est qu’elle est plus visible.
Or, notons que l’espace disponible est parfois restreint, ne nous laissant pas toujours la place pour créer une section dédiée.
Emplacement #3 : section des compétences
Une compétence dans un CV a moins d’éloquence lorsqu’elle prend la forme d’un mot singulier.
La raison est simple…
Tout le monde les écrit ainsi.
Résultat?
Les candidats se retrouvent tous avec des compétences similaires.
Donc si tu choisis de faire une section des compétences, rédige des phrases complètes pour les exprimer.
Quand viendra le temps de parler des langues, même principe : je te conseille de composer une phrase pour exprimer ton niveau.
Même si tu en as déjà fait mention ailleurs, tu pourras consolider le tout grâce à une mention supplémentaire dans ta section « Compétences » :

Emplacement #4 : section de l’expérience et de la formation (immersion)
Supposons que tu aies travaillé ou étudié pendant 1 an à Londres…
Cela constitue une preuve tangible que ton niveau d’anglais risque d’être suffisant pour les exigences du poste.
Sur papier, c’est l’un des meilleurs indicateurs à ta disposition.
- Dans la section « Expérience », prends le soin d’indiquer le pays.
- Dans le cadre d’un échange universitaire, indique le nom des 2 institutions (pas juste celle qui t’a décerné le diplôme) et spécifie le pays de celle à l’étranger dans « Formation ».
- Dans les 2 cas, tu peux ajouter la mention « immersion anglaise »

Emplacement #5 : section des voyages
Même si elle est risquée (« Ce candidat souhaite-t-il repartir bientôt? », se demanderont-ils), la section des voyages peut être abordée sous un angle stratégique pour ce qui est des langues.
Je suggère de mentionner la durée des voyages, à condition qu’ils soient de quelques mois au minimum.
Dans l’exemple ci-dessous, on peut déduire que le candidat s’est familiarisé avec l’espagnol lors de longs séjours dans des lieux hispanophones :

Emplacement #6 : section du perfectionnement
Je ne suis pas fervent des cours de langues dans le CV, surtout s’ils ont été suivis il y a plusieurs années.
À mon humble avis, cette mention attire l’attention sur une lacune et démontre que l’anglais n’est pas une force chez le candidat.
Le perfectionnement est généralement de courte durée et basique, ne permettant pas d’hausser son niveau considérablement.
Après quelques mois seulement, les notions apprises auront été oubliées pour la plupart si elles n’ont pas été mises en pratique sur le lieu de travail.
Au final, tu as le choix de l’indiquer ou non…
Prends note toutefois que si ta section « Perfectionnement » compte déjà beaucoup d’éléments, je suggère de retirer les cours de langues pour faire place à de la formation continue actualisée et liée à ton domaine.

Emplacement #7 : section des certifications
Tes résultats aux tests TOIEC par exemple peuvent hausser le niveau d’objectivité quant à ta maîtrise perçue anglais à l’aide d’une mention à cet effet dans la section « Certifications » :

« Langues lues, parlées et écrites »
L’exercice de rédaction d’un curriculum vitæ nous force à accorder beaucoup d’importance à la lisibilité du document.
Afin d’améliorer cette dernière, on doit donc retirer le plus de mots possible.
La mention « lues, parlées et écrites » n’ayant pas ou peu de valeur ajoutée, elle fait partie des éléments que j’enlève à tout coup :


Cela dit, si tu tiens à l’écrire, il n’y a pas d’incidence particulière.
Ce n’est pas un facteur qui vaut la peine qu’on y réfléchisse longuement.
Si ton niveau est différent à l’oral et à l’écrit, il n’est pas nécessaire de les distinguer pour l’instant.
Laisse plutôt le soin aux recruteurs de t’évaluer à l’oral et à l’écrit une fois le moment venu.
« Anglais fonctionnel » et « Anglais courant »
L’adjectif « fonctionnel » évoque chez moi que tu as un niveau bas.
Il a une connotation négative, car ce terme passe-partout est généralement utilisé à toute sauce par ceux qui ont de la difficulté en anglais.
Ils tenteront de s’en sortir indemnes au moment du tri en indiquant « anglais fonctionnel ».
Quand je l’entends ou le vois, je m’imagine tout de suite un niveau d’environ 2 sur une échelle de 5.
Mais pour d’autres lecteurs, ça voudra dire 3 sur 5 par exemple.
Voilà pourquoi je te disais en introduction que le sens est subjectif.
Et « fonctionnel » est le parfait exemple : il a une signification qui varie amplement et ne révèle pas ton niveau réel :

Quant à l’adjectif « courant », sa perception varie tout autant.
À mes yeux, « courant » voudra dire que tu peux bien t’en tirer lors d’une conversation.
Or, d’autres gens y verront un niveau beaucoup plus élevé, signifiant que tu es extrêmement fluide dans la langue de Shakespeare.
Bref, j’aimerais te convaincre d’utiliser une autre stratégie présentée dans cet article, notamment :
- « Français et anglais » seulement (sans adjectif pour qualifier le niveau)
- Pointage numérique
- Barre de progression
« Anglais débutant » et « Niveau scolaire »
Si tu es de niveau débutant en anglais, il vaut mieux ne rien écrire du tout sur ton CV à ce sujet :


Un niveau de compétence débutant servira malheureusement à quiconque dans le monde du travail.
Positionne-toi avec des compétences que tu possèdes réellement, et non avec celles qui te sont trop lointaines.
Bref, tente de les impressionner avec d’autres atouts dans ton jeu que l’anglais.
« Anglais intermédiaire »
Prenons une échelle de 10 en exemple.
Par définition, l’adjectif « intermédiaire » signifie que tu te situes au milieu de l’échelle, donc 5 sur 10.
Toutefois, pour convaincre un employeur que ton niveau vaut la peine d’être considéré, il se doit d’être légèrement supérieur à la médiane.
Il faudra donc miser sur un niveau de 6 ou 7 sur 10.
C’est donc sans équivoque, il faut aussi éviter d’indiquer « intermédiaire » :

Tout comme le terme « fonctionnel », choisis plutôt l’une de ces méthodes :
- « Français et anglais » seulement (sans adjectif pour qualifier le niveau)
- Pointage numérique
- Barre de progression
Si tu n’es pas à l’aise de situer ton niveau plus haut que le milieu, parce que tu considères que ton niveau n’atteint pas au moins 6 sur 10, ne mentionne pas l’anglais sur ton CV.
« Anglais avancé » et « Niveau professionnel »
Ces adjectifs ont plus de sens.
C’est OK de qualifier ainsi son niveau de langue :

Ton lecteur saura davantage à quoi s’attendre.
Assure-toi donc que c’est véridique et que tu seras en mesure de prouver ce niveau en tenant une conversation soutenue en anglais.
Rendu là, on s’entend, tu parles anglais. Je préfère donc la prochaine option…
« Français et anglais »
Tu es en mesure de répondre à 1 ou 2 questions en anglais à l’entrevue sans crouler sous la gêne et la pression du moment?
Tu peux comprendre un courriel en anglais, et y répondre?
Alors, sens-toi à l’aise d’écrire « Français et anglais » dans ton CV :

Tu as un fort accent? C’est OK.
Tu hésites et cherches tes mots à l’occasion? C’est OK.
Dans une région francophone, comme le Québec, la France ou l’Algérie par exemple, tu dois comprendre que la majorité des gens autour de toi n’ont pas cette capacité.
À leurs yeux, tu parles bel et bien anglais.
Bref, essaie de ne pas te comparer aux natifs anglophones ici, car tu n’atteindras jamais leur niveau.
Autrement, tu auras tendance à dévaluer le tien.
D’ailleurs, pour la plupart des postes offerts, les employeurs ne s’attendent pas à un bilinguisme parfait.
Même s’ils écrivent qu’ils recherchent quelqu’un de bilingue, c’est souvent faux. Ils écrivent les exigences comme s’ils jouaient à la loterie.
Ils rêvent du candidat idéal, mais sont conscients qu’ils ne pourront pas tout cocher sur leur liste.
À partir de 3 sur 5, je te suggère donc d’opter pour « Français et anglais » sur ton CV au lieu d’essayer de qualifier ton niveau d’une quelconque manière.
Quelques jours de pratique en prévision de ton entrevue suffiront à te réactualiser et à atteindre les exigences minimales du poste quant à la communication anglaise. Ne te laisse pas impressionner par ce qui se trouve sur l’affichage.
Et surtout, ne te disqualifie pas toi-même : postule! Tu verras plus tard quel est le niveau d’anglais qu’ils recherchent vraiment.
« English & French »
Sur un CV en anglais, inverse le tout pour mentionner « English » en premier :

« Bilingue »
Il y a des candidats qui trouvent que « Français et anglais » n’est pas suffisant dans leur cas.
Désirant mettre l’emphase sur cet atout qu’est leur bilinguisme, ils tiendront à indiquer « Bilingue ».
Et avec raison. Je suis favorable à l’emploi d’une telle stratégie, qui comporte aussi l’avantage d’être retrouvé par le mot-clé « bilingue ».
Même si c’est une recherche effectuée rarement en recrutement (étant donné le risque d’écarter des candidats bilingues qui ont choisi de l’écrire autrement), on ne sait jamais… aussi bien mettre les chances de notre côté!
En passant, n’oublie pas de spécifier les langues en question, donc « Bilingue (français et anglais) » :

« Parfaitement bilingue »
Et si ça ne suffit pas encore, l’adverbe « parfaitement » accentuera l’effet désiré : la maîtrise sans équivoque d’une seconde langue :

Étonnamment, même l’adjectif « bilingue » est propre à l’interprétation du lecteur, et « parfaitement bilingue » aussi.
Pour certains, ça voudra dire que tu es un natif anglophone, c’est-à-dire que tu as été élevé dans un milieu qui parlait les 2 langues.
Pour d’autres, ça voudrait dire que ta langue maternelle demeure le français, mais que tu as développé une compétence professionnelle en anglais te permettant d’évoluer dans n’importe quel milieu de travail anglophone.
« Langue maternelle »
Pour la raison qu’on vient de voir (les différentes définitions du bilinguisme), des candidats choisiront alors d’inscrire « Langue maternelle » pour les 2 langues au lieu de « Bilingue » et « Parfaitement bilingue ».
Cela anéantit tout doute à propos de la signification.
D’ailleurs, le seul contexte qui se prête bien à la mention « Langue maternelle », c’est lorsque c’est le cas pour les 2 langues :

Si tu possèdes 1 langue maternelle, et que tu écris « courant » pour l’anglais par exemple, je te réitère que tu devrais faire preuve de prudence en évitant d’employer des adjectifs dont la perception varie trop amplement.

Score numérique
Quand je recommande d’inscrire « Français et anglais » aux chercheurs d’emploi qui ont un niveau suffisamment élevé en anglais, quelques-uns m’avouent parfois leur inconfort.
Ils ont l’impression de mentir, car ils n’ont pas une parfaite maîtrise.
Mon premier réflexe sera donc de vérifier si leur anglais est véritablement « fonctionnel » ou « courant » comme ils l’affirment. Si leur niveau est bas, je leur conseille alors de ne rien écrire du tout au sujet de l’anglais.
Mais s’ils peuvent se débrouiller en anglais, et qu’ils demeurent néanmoins inconfortables à clamer « Français et anglais », le compromis consiste à opter pour l’affichage d’un score numérique sur leur CV.
Il est toujours présenté sur une échelle de 5 ou de 10 :

Points et étoiles
Le score numérique peut aussi prendre une forme visuelle par l’entremise de points noircis ou colorés selon ton niveau de connaissance (ou si tu préfères, des petites étoiles) :

La seule chose à considérer ici consiste à s’assurer que cela ne porte pas à confusion, puisqu’il y a certains designs bicolores pour lesquels on se demande quelle couleur représente le pointage.
En passant, les symboles offerts dans Word te permettront d’exécuter cette stratégie gratuitement.
Prends enfin note que le score numérique et les points colorés font tout aussi place à l’interprétation que les adjectifs. Ils ne constitue en rien une stratégie parfaite. Cela dit, je les trouve un peu plus précis comme auto-évaluation et ce, en attendant que l’employeur t’évalue de son côté.
Barre de progression
L’avantage de la barre de progression, c’est que comparativement au score numérique, tu n’as pas à trancher sur un nombre précis, comme entre 7 ou 8 sur 10 par exemple, un choix qui peut parfois s’avérer ardu :

Tu auras normalement besoin de débourser quelques dollars pour l’achat d’icônes ou pour les services d’un designer si tu envisages cette stratégie.
Évaluations TOEIC® et TOEFL iBT®
Ton résultat au Test of English for International Communication (TOEIC®) ou Test of English as a Foreign Language (TOEFL iBT®) peut effectivement ajouter un peu d’objectivité au document et du même coup, faciliter sa rédaction.
En effet, tu n’auras plus besoin de te demander si tu devrais t’avancer avec une auto-évaluation de ton niveau d’anglais sur ton CV.
Dans le cas du TOEIC®, il sera important de préciser si ton résultat provient de la version Listening and Reading ou Speaking and Writing du test.
Cela dit, le pointage de compréhension écrite et orale risque d’être pris avec un grain de sel, car les recruteurs savent que ça ne garantit pas une aisance en anglais.
Au Canada, les autres évaluations anglaises sur le marché ne sont pas monnaie courante et ne devraient pas figurer sur ton CV.
Voici un aperçu de la signification des niveaux (source : Explora Langues) :

Échelle européenne
Le standard européen du niveau de connaissance d’une langue provient du Cadre Européen Commun de Références pour les Langues (CECRL).
Pour un recruteur ou un gestionnaire canadien, le Cadre est plutôt méconnu, à moins d’avoir une longue expérience en recrutement.
Le résultat de l’évaluation marqué par un chiffre et une lettre (ex. A1, B2, C1) que tu mets sur ton CV n’évoque généralement rien de particulier pour eux. Je conseille donc de le retirer de ton document pour postuler au Canada.
Pour mes lecteurs en Europe, voici un aperçu de la signification des niveaux (source : Explora Langues) :

Autres langues (mandarin, allemand, russe, italien, créole…)
Sur le Web, on est très élogieux quant à l’utilité d’une troisième langue sur ton CV.
Mais entre toi et moi, c’est rare qu’elle serve sur le marché du travail et qu’elle interpelle les recruteurs autant qu’on le voudrait.
Elle risque d’être plus utile pour un voyage ou une expatriation en te permettant d’intégrer et de comprendre d’autres cultures avec plus d’aisance.
Bref, sur un CV, l’impact est discutable, à moins que la maîtrise de la langue en question soit un sérieux atout pour le poste et qu’elle soit présentée comme telle sur l’offre d’emploi.
Autrement, la mention est optionnelle et repose sur ta décision.
Par expérience, les candidats sont fiers d’avoir cet outil dans leur arsenal et choisiront habituellement de l’indiquer.
À partir de 4 langues et plus, certaines personnes seront impressionnées par la quantité. Elles vont peut-être même déduire que tu es plus intelligent que la moyenne, car elles associent le nombre de langues maîtrisées à ta capacité d’apprentissage.
Est-ce que les langues additionnelles peuvent nuire?
Certains candidats pensent que oui et voudront rendre leur CV plus canadien.
Pour ce faire, ils emploieront un prénom commun par exemple. Puis, ils omettront de mentionner des langues qui ne serviront pas ici. Pensons à un Nigérien qui retire volontairement « Hausa » de son document.
J’ai tendance à être favorable à une telle stratégie d’omission.
Conclusion : se laisser évaluer
Si tu n’es pas certain du niveau d’anglais requis, ne tente pas de le décrire avec quoi que ce soit sur ton CV afin de me pas faire d’erreur et d’immortaliser ton auto-évaluation.
Pour l’instant, écris « Français et anglais », à condition bien sûr de te débrouiller dans la seconde langue.
Puis, laisse le recruteur juger si ton niveau lui suffit en entretien.
Tu seras parfois surpris des compromis qu’un gestionnaire est prêt à faire lorsque tu as su le séduire sur d’autres aspects relatifs à ta candidature.
Parce que quand on est désiré, on a le gros jeu.
Enfin, je veux conclure sur un fait méconnu : beaucoup de gestionnaires sont extrêmement stressés à l’idée de poser des questions en anglais. Ils ont peur d’avoir l’air fous et de perdre de la crédibilité.
Bref, tu n’es pas seul à appréhender ce moment.
Relaxe un peu, il y a de bonnes chances que tu parles mieux l’anglais que ton intervieweur! 😉
*Cet article fut initialement publié le 20 mars 2012 et révisé le 25 janvier 2021.
Les langues dans l’en-tête, ha! Ça c’est du nouveau pour moi, je ne déteste pas l’idée!
Si on a anglais/français avancé et espagnol fonctionnel? Je mets toujours l’espagnol, même si c’est pas demandé, question de loterie…
Blogue très raffraichissant, ça donne un nouveau souffle à ma recherche!
Merci!
Bonjour et merci pour vos bons mots!
Par expérience, les emplois pour lesquels l’espagnol est un atout sont généralement identifiés par l’entremise de l’offre d’emploi.
Pour agir dans l’optique d’une « loterie », j’aurais certainement tendance à ne pas l’indiquer. D’ailleurs, j’ai retiré cette mention de mon propre CV.
Pourquoi retirer? Quel est le risque? Vous comprendrez qu’il n’y a rien de dramatique si on laisse la mention. Toutefois, chaque mot compte quand vient le temps de rendre votre CV plus lisible. Le problème le plus courant étant que les gens incluent ces informations, de type « nice to have », en trop grande quantité (ce n’est peut-être pas votre cas, mais de façon générale, il y a trop d’informations). Par conséquent, la lecture (voire la structure) du CV est compromise.
Quand vient le temps d’espacer l’information, chaque mot compte (…au risque de me répéter!).
Question sur ce genre ce sujet…
Pour quelqu’un qui est entrain de faire un DEP. Mais qui n’a pas son DES…
Inscrire « secondaire 4 complété » n’est pas très « winner » selon moi…
On évite d’inscrire cet information aussi ?
Si la question ne se présente pas en entrevue tant mieux, si oui et bien on peu peut etre justifier un peu.. ?
J’aimerais bien avoir votre avis !
merci !
Bonjour Nick! On indique généralement le plus haut niveau de scolarité complété et on trouve un employeur qui peut vivre avec. Pas de justification à l’écrit.
Au plaisir,